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Mathieu BelayMathieu Belay, Le lundi 22 avril 2019
Grand angle

Air France : on a testé la nouvelle cabine Business des A330 entre Paris et Dallas

À l’occasion du vol inaugural de la ligne Paris-CDG à Dallas-Fort Worth le 31 mars dernier, nous avons pu essayer la toute nouvelle cabine équipant la flotte A330 d’Air France. Focus sur notre expérience en Business Class.
  • À l'intérieur de la nouvelle cabine Business des A330 d'Air France © DR
    À l'intérieur de la nouvelle cabine Business des A330 d'Air France © DR
  • Vue  d'un siège (position allongée) en classe Business © DR
    Vue d'un siège (position allongée) en classe Business © DR
  • Vue d'ensemble de la cabine Business © DR
    Vue d'ensemble de la cabine Business © DR
  • Le design des nouveaux sièges, aux couleurs d’Air France © DR
    Le design des nouveaux sièges, aux couleurs d’Air France © DR
  • Arrivée à Dallas de l'A330 d'Air France à l'occasion du vol inaugural de la ligne © DR
    Arrivée à Dallas de l'A330 d'Air France à l'occasion du vol inaugural de la ligne © DR
  • Vue de Dallas depuis l'observatoire de la Reunion Tower © YONDER.fr
    Vue de Dallas depuis l'observatoire de la Reunion Tower © YONDER.fr
Quinze A330 seront équipés de cette cabine repensée d'ici à 2020, grâce à un investissement de 140 millions d’euros.

Retour d'Air France sur la desserte Paris - Dallas, la 13ème destination aux États-Unis à être desservie directement depuis le hub de Paris-CDG. Pour la compagnie, l'enjeu est de taille. À travers ses différentes alliances (KLM, Delta, Virgin Atlantic), elle pèse près du quart du ciel transatlantique, l'un des plus stratégiques au monde.

À l'occasion du vol inaugural de la ligne le 31 mars dernier, nous avons eu l'occasion d'essayer la toute nouvelle cabine équipant les A330 de la flotte, offrant une expérience de voyage améliorée à travers trois classes : Business (36 sièges), Premium Economy (21 sièges) et Economy (167 sièges). Quinze appareils seront pourvus de cette cabine repensée d'ici à 2020, grâce à un investissement de 140 millions d’euros. Au total, c'est plus d'un milliard d'euros qui aura été mis sur la table par Air France pour assurer la montée en gamme et l'harmonisation de ces cabines, notamment celle des très lucratives classes Affaires (ou Business).
 

Les conditions du test

  • Vol : AF0150 de Paris-CDG à Dallas-Fort Worth DFW ;
  • Date : le 31 mars 2019 ;
  • Siège : 5C, classe Business ;
  • Appareil : A330-200.
     

1. À l’aéroport Paris-CDG : le salon Air France du Terminal 2E, Hall L

Testé et approuvé par YONDER (8/10)

Comme tout vol en classe Business, l’expérience commence à l’aéroport, en l’occurrence le terminal 2E de Paris-CDG, d’où décollent l’essentiel des vols long-courriers de la compagnie et de ses partenaires. On ne reviendra pas en détail sur le lieu en lui-même, décrit en large et en travers, lors d’une visite de découverte effectuée en janvier 2018.

Depuis notre passage, le salon de plus de 3,200m2 pour 540 places assises, déjà doté du plus vaste espace bien-être (550m2, zone de relaxation, bar détox, soins du visage en partenariat avec Clarins, douches et même saunas !) jamais imaginé par Air France, s’est agrandi. L’inauguration dans un second temps du « Balcon », un espace imaginé par le designer français Mathieu Lehanneur avec ses « loges » inspirées de l’opéra et sa carte de cocktails signée par l’Hôtel Lancaster, 5-étoiles du quartier des Champs-Élysées a permis au lieu de gagner en ampleur. C’est, à ce jour, et si l’on met de côté l’exceptionnel salon La Première, le plus agréable des lounges de la compagnie hexagonale.

Comme nous le soulignions à l’époque, « Air France prouve qu’elle n’a plus à rougir face aux compagnies du Golfe ou asiatiques en termes de confort, de service et d’agrément ». Un seul bémol subsiste : le taux de remplissage, parfois très élevé, du salon en heure de pointe.
 

  • Le Balcon imaginé par Mathieu Lehanneur au sein du salon Air France du terminal 2E, Hall L à Paris-CDG © DR
Le nouveau siège permet de travailler, de se restaurer ou de se reposer dans d’excellentes conditions.

 

2. À bord : une nouvelle Business Class réussie, symbole des nouvelles ambitions de la compagnie

Ce qui suit décrit la nouvelle Business Class d’Air France équipant l’A330-200, appareil utilisé à l’occasion du vol inaugural Paris – Dallas le 31 mars 2019..

a. Le nouveau siège Business : un sans-faute utilisant au mieux la disposition « 2-2-2 »

Testé et approuvé par YONDER (8/10)

  • Alors que la configuration « 1-2-1 » avec sièges en épi (herringbone seating) s’est imposée pour les classes Business d’une majorité de grandes compagnies – c’est d’ailleurs le choix qui a été fait par Air France pour équiper les cabines Affaires de plus d’une quarantaine de Boeing 777 dans le cadre de son programme « BEST », les A330-200 disposant d’une cabine flambant neuve héritent d’une disposition plus « classique » avec deux sièges de chaque côté de la cabine, et deux sièges centraux, soit six sièges de front, légèrement décalés. Cela est dû aux contraintes liées aux dimensions de l’Airbus A330, plus étroit que les appareils plus récents (Boeing 777, Boeing 787, A350...) explique-t-on du côté de la direction d’Air France.

  • De prime abord, cela semble décevant pour les frequent travelers habitués au fameux « 1-2-1 ». Sur une rangée de six passagers, deux d’entre eux ne bénéficient pas d’un accès direct au couloir mais ni la sensation d’espace, ni le confort ne sont entamés. Large de 57,1 cm et se transformant en « lit » full flat » long de deux mètres (que nous n’avons pas testé dans sa position allongée puisqu’il s’agissait d’un vol de jour), le nouveau siège - un Stelia Aerospace's Equinox 2D pour les connaisseurs - permet de travailler, de se restaurer ou de se reposer dans d’excellentes conditions. Et même nettement meilleures que celles que laissait supposer la disposition « 2-2-2 ».
     

  • Le siège Business de l’A300 Air France en position allongée © DR
     
  • Pour garantir la tranquillité des voyageurs solos (la majorité des passagers en Business), une paroi coulissante permet de séparer astucieusement chaque paire de sièges. Une fonctionnalité indispensable pour la confidentialité de chacun.

  • En termes de look and feel, la nouvelle cabine, qui mélange tons de gris, bleu nuit et touche rouge (le fameux « accent » du logo) reflète plus que jamais la volonté d’Air France d’être le porte-drapeau d’une certaine élégance à la française. L'ensemble, très agréable visuellement, rend soudainement un brin tristounettes les cabines Business dites « BEST » de la flotte 777. Elles étaient pourtant le fleuron de la compagnie il y a encore quelques semaines !

  • Enfin, la trousse de toilettes, aux couleurs des 85 ans d'Air France, contient tous les essentiels pour un vol long-courrier : crème désaltérante et crème de mains Clarins, dentifrice, brosse à dent, fil dentaire, bouchons d'oreille, masque de nuit ajustable (un vrai plus si vous ne voyagez pas avec le vôtre) et même un stylo. Pratique pour remplir les éventuels formulaires administratifs à remplir dans les airs !
     

  • Le design élégant des nouveaux sièges, aux couleurs d’Air France © DR
Pour qui souhaite transformer son siège en bureau volant, le Pass « Stream » est l’option idéale.

 

b. Le divertissement et la connectivité : une offre dense, un Wi-Fi efficace

Testés et approuvés par YONDER (8,5/10)

Là encore, la cabine Business vise le haut du panier :

  • Écran haute résolution tactile XXL 18,5’, bien plus que n’importe quel laptop que vous pourriez transporter avec vous ;
  • Offre Inflight entertainement (IFE) très complète : plus de 300 films et près de 400 épisodes de shows TV pour environ 1,400 heures de programmes disponibles ;
  • Cartes interactives proposant de multiples vues personnalisables ;
  • Vue extérieure du cockpit grâce à un flux vidéo live ;
  • Télécommande intuitive pour éviter de tendre le bras pour effleurer l’écran
  • Casque à réduction de bruit active.

L'offre de divertissement à bord est particulièrement aboutie. Pour un vol dépassant les dix heures, ce n’est pas anodin. Seul regret : les reflets sur l’écran sont gênants lorsque la cabine n’est pas plongée dans l’obscurité

  • La télécommande au design simplifié du système de divertissement à bord © DR
  • En position "accrochée", entre la liseuse individuelle et les principaux boutons de commande © DR

 

  • En termes de connectivité, au-delà des désormais traditionnelles prises de courant universelles et prises USB au niveau de chaque siège, l’appareil propose l’offre Wi-Fi « Air France CONNECT », avec trois niveaux de connexion possibles :

    • Le Pass « Message » : offert, il permet d’envoyer ou recevoir des messages (hors photos et vidéos) via les principales applications de messagerie mobile (WhatsApp, Messenger, Instagram). Une fonctionnalité rudement pratique lorsque l’on souhaite communiquer, notamment lors d’un long vol, sans pour autant se connecter à plein temps ;

    • Le Pass « Surf » de 3 à 18€ (en fonction de la durée de connexion, d’une heure à la totalité du vol) que nous n’avons pas testé. Il est censé permettre de « naviguer sur Internet, consulter et envoyer des emails ».

    • Le Pass « Stream » facturé forfaitairement à 30€ pour l’intégralité du vol. Pas donné certes mais il garantit un débit suffisant pour travailler dans des conditions plus que satisfaisantes, y compris streamer de la musique en HD (sur Spotify, Deezer ou SoundCloud). On notera tout de même quelques interruptions, peu fréquentes, dans le service et un débit parfois insuffisant pour streamer de la vidéo. Pour qui souhaite transformer son siège en bureau volant, c’est l’option idéale.
       

  • Des écrans tactiles de 18’ font face à chaque siège : des conditions optimales pour regarder un film © DR
On passe un agréable moment à déjeuner (ou dîner) à 35,000 pieds et c’est bien là l’essentiel.

 

c. L’offre gastronomique à bord, toujours solide

Testée et approuvée par YONDER (9/10)

Pas de nouveautés majeures de ce point de vue mais on ne peut que constater la bonne tenue de l’offre gastronomique d’Air France pour sa clientèle Business :

  • Repas en cinq séquences : mise en bouche, entrée, plat chaud, sélection de fromages et desserts ;
  • Service partiel à l’assiette : la mise en bouche, l’entrée et les desserts sont servis séparément ;
  • Plats signés de grands chefs : excellente Pintade rôtie et navet fondant imaginée par le chef triplement étoilé Arnaud Lallement de L’Assiette Champenoise)
  • Belle sélection de vins assurée par le sommelier Paolo Basso : champagne Taittinger, Bourgogne Blanc Saint-Véran 2016 de chez Louis Jadot, Crozes-Hermitage Grand Classique 2017, Margaux 2015 Le Relais de Durfort - Vivens…

La petite touche qui fait la différence ? Le « PNC » qui propose d'assaisonner le plat à l’aide d’un véritable moulin à poivre.

Pour un palais aiguisé, ce n’est certes pas dans un avion qu'il fera le meilleur repas de sa vie. Et ce quels que soient les efforts consentis pour le satisfaire. Pourtant, sans être obsédé par la gastronomie en vol, force est de reconnaître qu’elle reste l’un des points forts d’Air France. En particulier dans le ciel transatlantique où rares sont les compagnies à pouvoir rivaliser en la matière. On passe un agréable moment à déjeuner (ou dîner) à 35,000 pieds et c’est bien là l’essentiel.

  • L'entrée servie au départ de Paris (Tartare de crevettes, crème de petits pois au citron et gingembre) © YONDER.fr
  • Pintade rôtie, navet fondant, l'un des deux plats imaginés par le chef étoilé Arnaud Lallement © YONDER.fr

 

On choisit donc un siège couloir et on regarde le paysage grâce à la caméra extérieure.

 

d. Le service à bord : considérations sur les qualités – et limites – d’Air France

Testée et approuvée par YONDER - Non noté

Difficile de commenter le service à bord d’un vol inaugural, où le personnel navigant est nécessairement plus attentif que lors d’un vol régulier. Plusieurs points peuvent toutefois être relevés, du plus anecdotique au plus général :

  • La prise de commande personnalisée en amont du service du repas est fluidifiée par les tablettes dont disposent les PNC. Ce qui n’a l’air de rien mais permet de garantir un meilleur respect du choix pendant le repas, tout en gardant en tête que chaque plat dispose d’un stock limité. À l’arrière de la cabine Business, il est probable que le plat le plus populaire ne soit plus disponible. En l’occurrence, et même si ce n’était pas notre premier choix, le Dos de cabillaud, sauce Noilly Prat, artichaut en deux façons d’Arnaud Lallement n’était plus disponible au moment de la commande.

  • De notre propre expérience, sur ce vol mais aussi sur des dizaines de vols Air France effectués par le passé, et ce dans toutes les cabines (Economy, Premium Economy, Business), l’une des grandes forces du service à bord des appareils Air France est de rester « humain ». Certaines compagnies prestigieuses d'autres régions du monde misent sur une approche ultra normée de la relation aux passagers. Le résultat, s’il est souvent efficace et irréprochable, n’en reste pas moins très - trop - mécanique.

  • Air France à l’inverse, et spécifiquement en classe Business, parvient à maintenir un équilibre entre la distance que nécessite ce métier de service si particulier (promiscuité, multiplicité des nationalités et donc des codes culturels, durée des rotations sur les vols long-courriers, etc.) et une forme de proximité que les voyageurs français, ou de culture française, apprécient.

  • L’un des reproches régulièrement faits à Air France est le manque de régularité dans la relation entre PNC et passagers. Couramment excellente, souvent - très - bonne mais aussi, occasionnellement, décevante. C’est un point qui revient couramment dans les propos des voyageurs fréquents. Un problème dont le management d’Air France a parfaitement conscience. Mais, de l’avis général, passagers comme responsables de la compagnie, c’est aussi une question sur laquelle la compagnie hexagonale a fait beaucoup de progrès ces dernières années. On se range derrière cette opinion.

 

3. Notre conclusion : la Business Class des A330, testée et approuvée haut la main

Testé et approuvée par YONDER - Note globale : 8,5/10

Pour revenir au sujet initial, le test de la nouvelle Business de la flotte d’A330-200 d’Air France, il se révèle plus que concluant. Si la disposition « 2-2-2 » peut s’avérer désarçonnante dans un premier temps, l’agrément général (élégance de la cabine, sensation globale d’espace, confort du siège, offre de divertissement à bord, connectique complète, Wi-Fi efficace, qualité de la gastronomie et sélection de vins, service à bord) est tel que l’on oublie très vite ce léger « désagrément ».

Rappelons, à toutes fins utiles, que la flotte en question, qui sera entièrement équipée des nouvelles cabines d’ici 2020, n’a pas vocation à effectuer des vols d’une durée supérieure à 10h30, les destinations les plus lointaines desservies étant Seattle, Houston, Bangalore… ou Dallas !

Les autres destinations qui sont/seront desservies par la flotte A330 renouvelée : Accra (Ghana), Ouagadougou (Burkina Faso), Cotonou (Bénin), Lagos (Nigéria), Niamey (Niger), Delhi (Inde) et Chicago (États-Unis).

Le conseil en plus ? On préfèrera toujours éviter de devoir enjamber son voisin de vol occupé ou endormi. On choisit donc un siège couloir et on regarde le paysage grâce à la caméra extérieure.

Les bémols ? Deux seulement : les reflets excessifs sur l’écran lorsque la lumière naturelle pénètre dans la cabine. Et la présence d’une unique cabine de toilettes, certes surdimensionnée et dotée d’un hublot, pour un potentiel de 36 passagers en Business. Ce n'est pas assez.

Dallas forme avec Fort Worth la quatrième aire urbaine du pays, forte de plus de 7 millions d'habitants !

 

Que faire, que voir, où dormir ? Nos conseils si vous visitez à Dallas

Si l'on ne pense pas nécessairement à Dallas comme destination touristique, cette vaste métropole du nord du Texas forme avec Fort Worth la quatrième aire urbaine du pays, forte de plus de 7 millions d'habitants ! Au-delà des clichés du mythique feuilleton télévisé sur une ville largement enrichie par l'industrie du pétrole, Dallas propose aujourd'hui plusieurs facettes : une économie dynamique, une scène culturelle active et des possibilités infinies pour se divertir. Dallas, c'est enfin le lieu d'assassinat du plus jeune président des États-Unis, John Fitzgerald Kennedy.
 

1. Poser ses valises au Joule Hotel 

L’un des rares boutique-hôtels de luxe de la ville, en plein cœur de Downtown. Sa piscine rooftop s’avançant au-dessus de Main Street vaut à l’établissement une renommée internationale.

  • La piscine de The Joule Hotel © DR

 

L’alternative ? Ambiance country club chic au Four Seasons Resort and Club Dallas at Las Colinas, gigantesque resort de luxe situé entre Dallas et Fort Worth (et donc non loin de l’aéroport international DFW). Golf, piscines, spa XXL, chambres immenses, grill, cheminée extérieure, tout y est.
 

2. Revivre l'assassinnat de Kennedy in situ

Le 22 novembre 1963 à 12h30, John Fitzgerald Kennedy est brutalement assassiné lorsque sa limousine décapotée passe sur Dealey Plaza, en plein cœur de Dallas. Pour revivre ces instants tragiques, et mieux comprendre le phénomène politique que fut Kennedy à l'époque, direction The Sixth Floor Museum at Dealy Plaza, musée extrêmement pédagogique situé au sixième étage du Texas School Book Depository. Précisément à l'étage d'où Lee Harvey Oswald a tiré les coups de feu mortels.

  • The Sixth Floor Museum at Dealy Plaza © YONDER.fr
  • The Sixth Floor Museum at Dealy Plaza © YONDER.fr

 

3. Découvrir le Dallas arty 

Loin des préjugés sur la pauvreté de la vie culturelle texane, on dénombre 160 musées, galeries et sites artistiques à Dallas. Les principaux musées sont situés dans Downtown, au sein du Dallas Arts District, « le plus grand espace urbain dédié à l’art et la culture aux États-Unis ». Le Dallas Museum of Art abrite ainsi 23,000 œuvres couvrant pas moins de 5,000 ans d’histoire !

L'idée en plus ? Faire son shopping au NorthPark Center. Ce mall haut de gamme, parmi les plus visités du Texas (235 commerces, 27 millions de visiteurs par an) abrite une collection d’œuvres d'artistes majeurs du XXème siècle, parmi lesquels Andy Warhol, Joel Shapiro, Jim Dine, Jonathan Borofsky, James Rosenquist, Antony Gormley, Barry Flanagan ou Beverly Pepper,.
 

4. Se plonger dans l’Amérique sportive

Que l’on soit ou non fan de sport, assister à un match aux USA est une expérience à vivre une fois dans sa vie. Dallas étant la résidence de pas moins de cinq équipes nationales, les Dallas Cowboys (football américain), les Dallas Mavericks (basketball), les Dallas Stars (hockey), le FC Dallas (football) et les Texas Rangers (baseball), les visiteurs auraient tort de se priver. D’autant que les billets y sont nettement plus accessibles qu’à New York, Los Angeles ou Chicago.

  • Pendant un match de baseball des Texas Rangers © YONDER.fr
  • Les Dallas Mavericks jouent à l'American Airlines Center, dans Downtown Dallas © DR

 

Pratique

Le 31 mars 2019, Air France a inauguré la desserte de Dallas-Fort Worth (Etats-Unis) en Airbus A330 équipé des nouvelles cabines.

Horaires des vols effectués (en heure locale) :

AF0150 : départ de Paris-Charles de Gaulle à 10h10, arrivée à Dallas-Fort Worth à 13h50 ;
AF0159 : départ de Dallas-Fort Worth à 15h45, arrivée à Paris-Charles de Gaulle à 8h15.

Du 31 mars au 30 juin et du 4 septembre au 25 octobre 2019 : vols effectués les mercredis, vendredis et dimanches.
Du 1er juillet au 1er septembre : vols effectués les lundis, mercredis, vendredis, samedis et dimanches.

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