A l’instar du Kozue au Park Hyatt ou du Nadaman au Shangri-La, le Mai propose une cuisine japonaise réussie élaborée par le chef Masahiko Saito aux convives préférant le cadre rassurant d’un hôtel, où le personnel parle anglais et où menu et prix sont clairement affichés ce qui est loin d’être le cas dans la grande majorité des restaurants gastronomiques tokyoïtes.

Ni surprise majeure, ni concept révolutionnaire mais une cuisine japonaise parfaitement exécutée qui revisite avec style les plats traditionnels de l'archipel . Prenez des risques en ne vous cantonnant pas aux classiques que vous connaissez déjà et laissez-vous surprendre par les menus kaiseki permettant de découvrir un large éventail de recettes et de préparations.

Le décor est quant à lui quintessentiellement japonais avec son comptoir, ses salles à manger privatives traditionnelles avec tatami, ses shōji et sa lumière apaisante. Un joli jardin zen est également attenant au restaurant renforçant l’impression de sérénité qui se dégage des lieux.

Réservation recommandée pour le dîner.