Alice Polack, Pauline Perrin-Béquart, le lundi 14 avril 2025
Restaurants

Paris : les 14 meilleurs bars à vins naturels (et caves à manger)

Entre grands classiques, nouvelles ouvertures et convertis au « nature », voici notre sélection des meilleurs bars à vins naturels et caves à manger où étancher sa soif de naturisme.
  • Septime la Cave (Paris 11e) © DR
    Septime la Cave (Paris 11e) © DR
  • Croquettes de boudin noir, pâté « lolorain », tortilla et rôti de bœuf au zaatar © Lolo cave à manger
    Croquettes de boudin noir, pâté « lolorain », tortilla et rôti de bœuf au zaatar © Lolo cave à manger

Au cours des dernières années, on ne compte plus le nombre de bars à vins naturels et autres caves à manger ayant ouvert leurs portes aux quatre coins de Paris — et ce bien au-delà des frontières du 11e arrondissement, qui compterait en son sein davantage d’adresses « natures » que NewYork tout entière ! Si l’engouement est bien réel, il devient aujourd’hui difficile de trier le bon vin de l’ivresse, et de choisir où bien boire au comptoir.

1. Augustin Marchand d’Vins (Paris 6e)

COUP DE CŒUR DE LA RÉDACTIONDerrière l’enseigne en néon rouge de la rue des Grands-Augustins se cache la meilleure cave à manger de la Rive gauche. Aux commandes, Augustin, armé d’un tire-bouchon et d’une culture œnophilo-littéraire remarquable. Sur les étagères, de véritables pépites naturelles : rarissimes champagnes Selosse, Bourgogne somptueux de Raphaëlle Guyot, pépites jurassiennes, étoiles montantes de la Vallée du Rhône… On entre ici comme dans une librairie nocturne, contemplant les flacons alignés au mur avant de s’asseoir religieusement et de… se laisser faire. Ici point de carte côté liquides, seule compte une confiance absolue placée dans le taulier – et une ardoise de délicates petites assiettes de charcuteries, fromages, dont cette incontournable burrata « camouflage » servie sous un manteau de truffe noire ou blanche, selon la saison.

Bon à savoir ? Le patron ayant vécu en Italie, on trouve ici de très belles références transalpines.

Les prix ? Bouteilles à partir de 15€ (à emporter), assiettes de 8 à 25€.

Augustin Marchand d’Vins
26, rue des Grands-Augustins, Paris 6e
Page Instagram

  • Bougogne Marthe Henry — Augustin Marchand d'Vins
  • Augustin Marchand d'Vins — vitrine.

 

 

2. Lolo cave à manger (Paris 9e)

COUP DE CŒUR DE LA RÉDACTION
Dans un local taille XS aux murs rougeoyants qui vient de fêter ses deux ans, Loïc Minel et Christophe Juville embrasent cet angle loin d’être mort du Sud Pigalle. Côté cave, la maison opte pour du 100% naturel et une sélection à contre-courant, ne se laissant jamais guider par un quelconque effet de mode : on y trouve donc côte à côte un vin orange catalan, une rouge jurassien du domaine de la Tournelle, des merveilles italiennes… Aux fourneaux, arrivé récemment, le (très) talentueux Jules Roncin, qui envoie des assiettes presque choquantes de bonté, à l’image de ce mémorable maigre de ligne, onctueux labneh et dôme de ciboulette, éternel pâté « lolorrain », fried chicken aux œufs de truite et mayo pimentée…

Bon à savoir ? Pour réussir à s’y attabler on s’y fraye un chemin dès 18h à l’ouverture.

Les prix ? Bouteilles à partir de 29€, assiettes de 4 à 9€.

Lolo cave à manger
12, rue de Châteaudun, Paris 9e
Page Instagram

  • Lolo cave à manger – Pâté « lolorain » © Lolo cave à manger
  • © Lolo cave à manger

 

Nul besoin d’attendre les premières chaleurs de juin pour se faufiler dans cette buvette du Canal Saint-Martin

3. Early June (Paris 10e)

Nul besoin d’attendre les premières chaleurs de juin pour se faufiler dans cette buvette du Canal Saint-Martin, nichée juste derrière l'institution bistrotière qu'est devenu le Verre Volé. Murs blancs délicatement griffés, tables en bois, fleurs discrètes, service aussi détendu qu’attentif et sélection de vins naturels aussi pertinente qu'équilibrée : merveilleuses cuvées du Domaine Labet dans le Jura, délicieux rouges bourguignons du Clos des Vignes du Mayne, dans le Mâconnais. A ses débuts, le lieu était davantage un bar à vins qu'un restaurant, mais remplit désormais son office de cave à manger sans démériter, avec l’accueil de chefs étrangers en résidence : Danemark, Japon, Birmanie, avec toujours à la carte de petites assiettes désarmantes de simplicité, habile mélange de classique et d’impertinence.

Bon à savoir ? Le spot idéal contre la mélancolie du dimanche soir.

Les prix ? Bouteilles à partir de 27€, assiettes de 7 à 14€.

Early June
19 Rue Jean Poulmarch, 75010 Paris
Site Web

  • Early June © James Jackman
    Early June © James Jackman

 

4. Les Amoureuses bis (Paris 4ème)

Bienvenue au deuxième bar à vins d’Alena Iampolskaia et Benjamin Leroy : Les Amoureuses bis, ouvert début 2025 et situé juste à côté de leur première adresse au 3 de la rue de Tournelles, Les Amoureuses. Cette cave à vins est chaleureuse, accueillante et il y règne une bonne humeur propagatrice jusque dans la rue. Accueillant des groupes allant jusqu’à 16 personnes que l’on peut asseoir autour d’une même table centrale, on s’y rend pour rire aux éclats et boire des bons vins sélectionnés chez des vigneron.nes majoritairement indépendant.es. Côté restauration, on peut découvrir au choix une carte de tapas traditionnels à partager (comme des olives, du pâté en croûte…), ou bien une carte élaborée par un chef étoilé revisitant le croque-monsieur, le bœuf tartare, les œufs mayonnaise ou encore les makis.

Bon à savoir ? La cave à vins propose quelques 200 références de vins : rouges, blancs, rosés, mais aussi oranges ou mousseux, au verre, à la bouteille de 75 cl ou au magnum… 

Les prix ? Tapas classiques à partir de 6 euros, et verre de vin et assiettes du chef à partir de 7 euros.

Les Amoureuses bis,
3 rue des Tournelles, 75004 Paris
Site web

  • Déguster des tapas chez Les Amoureuses bis © Alice Casenave
  • Déguster un verre de vin chez Les Amoureuses bis © Alice Casenave

 

5. Passerina (Paris 12e)

L’ouverture qui avait fait frissonner Paris, c’est celle de la cave à manger de Justine Prot, la complice du chef italien Giovanni Passerini. Une salle minimaliste, avec grand comptoir central tapissé d’acajou et de mosaïque – sans oublier quelques assises qui courent le long des murs – où sont alignés de beaux flacons italiens (mais pas seulement) : rouges du Latium, oranges piémontais, blancs siciliens… Le tout accompagné d’une volée d’assiettes on ne peut plus enthousiasmantes : fine charcuterie transalpine, vitello tonnato, torta pasqualina aux artichauts, ricotta et pecorino…

Bon à savoir ? En bouquet final lorsque la soirée décolle, un formidable risotto atterrit comme par magie dans les assiettes.

Les prix ? Verres à partir de 7€, bouteilles à partir de 30€, assiettes de 9 à 13€.

Passerina
44 Rue Traversière, 75012 Paris
Site Web

  • © Passerina
    © Passerina

 

6. Le vin au vert (Paris 9e)

Un extérieur qui ne paie pas de mine(s), mais un intérieur qui en promet de belles ! Tables en bois alignées d’un côté, flacons aux murs de l’autre, petite cuisine au garde-à-vous, le joli troquet d’Etienne Lucan et Sébastien Obert est un parfait lieu de rendez-vous où boire d’exquises cuvées sans se ruiner – et sans devoir se forcer à avoir l’air branché. Parmi la sélection, de belles références auvergnates, savoyardes et jurassiennes, mais aussi de beaux rouges ligériens, rhodaniens, et même quelques exceptions bordelaises ! Dans les assiettes, une poignée de mets gentiment bistrotiers à partager : andouillette, moules de bouchot et pommes de terre, burrata…

Bon à savoir ? Une sélection de vins au verre parmi les plus enthousiasmantes de la Rive Droite.

Les prix ? Vin au verre de 4,50 à 8€, bouteille à partir de 18€. 

Le vin au vert
70 Rue de Dunkerque, 75009 Paris
Site Web

 

7. Supra (Paris 20e)

Un bar à vins géorgien, enfin ! Ouvert un jour de solstice d’été en plein cœur du 20e et à deux pas de l’institutionnel Baratin, l’enclave caucasienne ouverte par le fin connaisseur Nika Endeladze et le talentueux photographe Vincent Lappartient n’en finit plus de nous faire virer à l’orange. Parmi les plus jolis nectars sourcés en direct par Nika — et dont on aura le plus grand mal à mémoriser les noms —, la cuvée Gravitas de Rosha Winery, le Kisi volupteux de Chona’s Marani, ou encore de beaux saperavi rouges à vous transporter dans la Vallée du Rhône. S’il est possible d’opter pour quelques bouteilles à emporter, l’idéal sera de rester sur place en compagnie de petites assiettes changeantes : pkhali déclinés au gré des saisons, khatchapouri (chausson au fromage ici au format pizza), salade de concombres, tomates, feta, graines de tournesol et herbes fraîches, velouté de pois cassé et panais…

Bon à savoir ? Le lieu organise régulièrement des dégustations portant sur un domaine précis, histoire de donner un aperçu du (vaste) paysage viticole nature de Géorgie.

Les prix ? Bouteilles à partir de 16€, assiettes de 4 à 15€.

Supra
12 Rue Jouye-Rouve, 75020 Paris
Page Instagram

  • © Supra
  • Khatchapouri © Supra

 

Cette cave aux dimensions de mouchoir de poche est une cave(rne) d’Ali baba en matières de vins naturels et autres breuvages.

8. Frenchie Bar à vin (Paris 2e) 

Briques apparentes, cuisine ouverte, lumières tamisées, c’est dans le même esprit d’élégance que son aîné étoilé que le Frenchie bar à vin de Greg Marchand poursuit sa lente ascension vers les sommets de la vinaturologie. Une adresse où l’on peut sans rougir prendre un verre de rouge seul au comptoir, en picorant de petites assiettes joliment ciselées. Dans les verres, du haut de gamme : champagne Benoît Lahaye, délices jurassiens de Jean-François Ganevat, Crozes-Hermitage de chez Philippe Pacalet, sans oublier une gamme de vins du nouveau monde triés sur le volet. 

Bon à savoir ? Le trio Frenchie (restaurant, bar et caviste) unit ses forces en périodes de fermeture et propose aussi des menus à emporter avec ses bouteilles.

Les prix ? Bouteilles de 20 à plus de 200€. Côté food, entrées de 8 à 12€, plats de 12 à 17€, dessert de 4 à 8€.

Frenchie Bar à vin
9 rue du Nil, Paris 2e
Site Web

  • Frenchie Bar à vin © Frenchie bav
    © Frenchie bav

 

9. Septime La Cave (Paris 11e) 

À un jet de pierre du restaurant éponyme (Septime), cette cave aux dimensions de mouchoir de poche n’est pas seulement l’antichambre apéritive de Clamato, mais aussi une cave(rne) d’Ali baba en matière de vins naturels et autres breuvages : champagne Vouette & Sorbée, vins géorgiens sortis d’amphores, splendides syrah d’Hervé Souhaut, cidres de Cyril Zangs… Le tout accompagné de petites tapas à picorer en s’abreuvant : mozzarella aux anchois et cédrat, tarama à l’huile d’olive, etc.

Bon à savoir ? Puisque Septime réchauffe à l’envi la rue Basfroi, l’escale idéale avant d’aller s’attabler à l’étoilé, ou s’autoriser l’une des délicieuses créations sucrées de Tapisserie, sans doute l’une des meilleures pâtisseries de Paris.

Les prix ? Bouteilles de 18 à plus de 100€. Assiettes à partir de 13€.

Septime La Cave
3 rue Basfroi, Paris 11e
Site Web

  • Septime La Cave © DR

10. La Cave à Michel (Paris 10e)

Derrière le comptoir de cette petite cave à manger, point de Michel mais deux frères, Romain et Maxime Tischenko (respectivement passés chez Ze Kitchen Galerie et au Chateaubriand, Romain a également remporté la toute première saison de Top Chef en 2010), férus de vins naturels et grands puristes du quartier. Sur les murs, les étiquettes de jeunes vignerons bourrés de talent côtoient de grands noms de la scène viticole nature : fringants beaujolais de Rémi et Laurence Dufaître, blancs alsaciens de Vincent Fleith. On retrouve ce mélange de simplicité et de sophistication jusque dans les assiettes : gambas grillées au persil et à l’huile d’olive, haddock fumé lové dans des lamelles de concombre et wasabi, pavé de boudin noir ( !) aux oignons en pickles, figues fraîches au romarin et noisettes, etc.

Bon à savoir ? Sans réservation et au format mouchoir de poche, il faudra quitter le bureau assez tôt pour avoir une chance de se hisser au comptoir.

Les prix ? Bouteilles à partir de 20€. Entrées de 7 à 12€, plats à 15€, dessert de 5 à 6€.

La Cave à Michel
34 Rue Sainte Marthe, Paris 10e
Site Web

  • La Cave à Michel — duo rouge et blanc.
  • La Cave à Michel.

 

 

11. Folderol (Paris 11e) 

Il fallait une sacrée dose d’audace pour ouvrir une cave à manger dont la partie solide reposerait sur une approche des plus glaciales. Un bar à vins natures et crèmes glacées, pensé par le duo à la tête du fameux Rigmarole, Jessica Yang et Robert Compagnon. Au programme, une sélection de flacons natures de très haute voltige – blanc autrichien de chez Tschida, éternel rouge de Thierry Puzelat, oranges géorgiens, raretés jurassiennes – et parfait accord avec des parfums de glace à vous donner des frissons : hibiscus yaourt, raisin muscat, café vietnamien, rhubarbe tarte au sucre…

  • © Folderol
    © Folderol


Bon à savoir ? Pour ceux que les glaces refroidissent, on pourra aussi compter sur quelques assiettes salées à partager : focaccia maison à l’huile d’olive, charcuteries italiennes, etc.

Les prix ? Bouteilles à partir de 18€ (8€ de droit de bouchon sur place), vins au verre de 5 à 7€, assiettes de 3 à 12€, boule de glace à 2€ (ou 12€ le demi-litre à emporter)

Folderol
10 Rue du Grand Prieuré, 75011 Paris
Site Web

12. Donna (Paris 3e

Derrière cette cave à manger affûtée et audiophile, nul besoin de compromis. Entre la sélection pointue de vins nature, l’audace des assiettes, la playlist house et la décoration minérale, c’est un sans-faute orchestré par le chef Louis-Arnaud Jose qui succède à Masahide Ikuta. À la carte, un accord judicieux entre des plats inventifs et une centaine de vins naturels français, parfois rares et confidentiels, choisis par Marc Le Berre, gérant de la cave Rouge ou Blanc à Paris. Parmi les références, de prestigieuses cuvées, comme ce blanc de Bourgogne du Domaine Prieuré Roch, côtoient de vives pépites de jeunes domaines, dont celles de Maison Maenad et Raphaëlle Guyot.

  • Donna © DR
    Donna © DR


Cette divine sérénade accompagne les mets entre terre et mer du chef, particulièrement féru de produits marins sourcés directement auprès d’un mareyeur à l’Île d’Yeu : généreuses Saint-Jacques poêlées ; Saint-Pierre nacré aux carottes, sauce collagène beurre blanc façon pil pil... Et côté viande, un faux-filet de bœuf mâturé Simmental aux pommes de terre grenaille. Sublimer le produit brut sans fioriture, un adage repris au cœur de ce lieu minimaliste en béton et chaux conçu par l’architecte d’intérieur Cécile Derrien. Coups de cœur pour l’impressionnant comptoir rocheux du designer Frédéric Imbert sculpté par le tailleur de pierre Maxime Bellaunay, ainsi que pour le mobilier chiné de designers iconiques (fauteuils Amérique de Pierre Guariche et lampadaire Moonlight d’Ettore Sottsass). 

Bon à savoir ? L’adresse ne désemplissant pas, il est conseillé de réserver son couvert pour une meilleure expérience.

Et les prix ? Au verre à partir de 8 €, bouteilles à partir de 28 €, assiettes de 9 à 39 €. Caroline Appert

Donna
157 rue Saint-Martin, 75003 Paris
donna-paris.com 

13. Bambino 

Le stéréo-bar qui fait danser les papille du 11e. Côté pile, une cuisine ouverte qui embaume la pizzetta. Côté face, un mur de vinyles et des platines qui s’animent à la tombée de la nuit. Bienvenue chez Bambino, stéréo-bar à bonne onde niché rue Saint-Sébastien, où l'on vient aussi bien pour la bande-son que pour l’assiette.

  • © Bambino
    © Bambino


Pensé par une bande de passionnés, le lieu conjugue playlist éclectique, acoustique millimétrée et cuisine de saison bien pensée. Un bar à vin dans l'esprit, certes, mais qui évite avec brio les planches de charcut' attendues. À la place : des assiettes à partager aux saveurs franches comme une galette de sarrasin, brocolis, stracciatella, haddock et ail noir, ou un paleron de veau confit au feu de bois accompagné de topinambours et de noisettes. Le sucré joue la carte de l’umami avec un gâteau au comté brûlé à ne surtout pas rater. Et pour accompagner le tout ? Des quilles nature à la robe rouge, orange, ou rosée, et une série de cocktails pression à la fraîcheur bienvenue.

Bon à savoir ? On peut même écouter les playlists chez soi. Mais l’idéal reste de venir les vivre sur place.

Les prix ? Assiettes autour de 16 €, cocktails à 14 €, verres de vin dès 10 €.

Bambino
25 Rue Saint-Sébastien, 75011 Paris
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14. Piccolo

Petit frère perché de Vecchio, Piccolo joue la carte du comptoir milanais un brin déglingué, beaucoup trop sexy. Caché sous les toits du Perchoir Ménilmontant, ce micro-spot signé Gianmarco Gorni s’affirme comme un bar à copains où l’on vient se lover dans un canapé moelleux, trinquer au comptoir en zinc, ou danser jusqu’au bout de la nuit — littéralement, la maison ferme à 4h.

  • © Piccolo
    © Piccolo


Dans l’assiette, des snacks milanais comme tout droit sortis du Bar Basso – temple du Negroni sbagliato – pour accompagner une carte de vins 100 % natures, entre flacons piémontais et pépites siciliennes. Dans les verres, on lâche les Bordeaux pour une soirée transalpine, pendant que les DJ sets inspirés donnent à l’ensemble un air de mini-club en chaussettes. Moins restaurant que QG ultra-stylé, Piccolo est le genre d’adresse où l’on glisse sans y penser et qu’on a bien du mal à quitter.

Bon à savoir ? On peut grignoter jusqu’à très tard. Et danser encore plus tard.

Les prix ? Snacks entre 5-19 €, verres dès 8 €, cocktails maison à 13 €.

Piccolo
14 Rue Crespin du Gast, 75011 Paris
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