Cheval Blanc Paris : la visite en images du nouveau palace parisien

Première adresse urbaine de la collection ultra luxe de LVMH, Cheval Blanc Paris ouvre ses portes le 7 septembre dans l'ancienne Samaritaine. Découverte en images d'un palace contemporain, sophistiqué et exclusif. En un mot, spectaculaire.

La façade du Cheval Blanc Paris domine fièrement la Seine et le Pont Neuf © Alexandre Tabaste
Cheval Blanc Paris | Chambre avec vue sur la Seine et le Pont Neuf © Alexandre Tabaste
Cheval Blanc Paris | Les luxueuses salles de bain s'ouvrent sur la chambre © Alexandre Tabaste

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Cheval Blanc Paris | Ce qu'il faut retenir en 3 points

La Samaritaine revue et corrigée par LVMH s'apprête à achever sa mue avec l'ouverture désormais imminente — le 7 septembre — de Cheval Blanc Paris, première « maison » urbaine de la collection hôtelière après Courchevel, les Maldives, Saint-Barth et Saint-Tropez. Et le moins que l'on puisse dire est que le groupe de Bernard Arnault a vu les choses en grand pour cette adresse destinée à devenir une vitrine du savoir-faire du géant du luxe en matière d'hospitalité.
Par bien des aspects, ce palace des temps modernes se distingue de ses illustres concurrents. Moins de clés (72 seulement, dont 46 suites) plus d'espace (pas moins de 45 m²pour la première catégorie de chambre, un lobby aux volumes impressionnants, des couloirs démesurés), piscine de 30 mètres (un record à Paris), spa Dior et vues spectaculaires sur la Seine et le Pont Neuf sont quelques-unes des caractéristiques de Cheval Blanc Paris, premier hôtel à bénéficier de la patte de Peter Marino. L'architecte new-yorkais est mondialement connu pour avoir signé les intérieurs de boutiques de luxe emblématiques (Dior, Louis Vuitton, Chanel...) à Paris, New York, Tokyo...
Au-delà de ses qualités hôtelières, l'établissement entend bien séduire les Parisiens grâce à ses quatre restaurants. Au rez-de-chaussée, Limbar joue la carte du concept hybride : boulangerie contemporaine le jour, bar à cocktails le soir. Au premier étage, Plénitude est promis à une destinée étoilée sous l'égide du chef Arnaud Donckele, déjà détenteur de trois macarons Michelin au Cheval Blanc Saint-Tropez. Enfin, au 7^e étage, entres vues imprenables et « jardin suspendu », deux tables se préparent à faire l'événement. Le Tout-Paris entend réinventer la brasserie parisienne tandis que Langosteria promet d'être « l'italien » le plus en vogue de la capitale avec ses intérieurs élégants et sa terrasse nichée dans la verdure.